Il n'est de grand amour qu'à l'ombre d'un
grand rêve.
5 août 2009
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Nous voilà donc arrivés à Sucre après 13 heures de bus de nuit, histoire de bien récupérer de notre ascension :-) C'est de loin la plus belle ville que nous ayons visité en Bolivie. Elle se dispute d'ailleurs avec La Paz le statut de capitale. Nous on vote Sucre!!!!
C'est une très jolie ville coloniale au climat beaucoup plus clément. C'est pour cette raison que nous avons décidé de nous y reposer 2 jours. Nous n'y avons donc pas fait grand chose hormis un inattendu concert de piano classique et des balades tranquilles en passant comme nous en avons pris l'habitude par le « mercado » pour y gouter un des plats typiques et y faire nos courses de fruits et légumes. Enfin surtout de pommes de terre...ils en ont plus de 300 variétés!
Nous avons ensuite poursuivi notre route vers la plus haute ville de plus de 100 000 habitants au monde!
Potosi, la riche déchue (4080 mètres).
Cette ville fut la seule d'Amérique Latine a être proclamée ville impériale du temps de Charles Quint. Et pour cause, elle a fait la fortune de l'Espagne pendant 3 siècles grâce à ses mines d'argent quasi inépuisables. Imaginez vous que tout le précieux métal extrait de la fameuse colline baptisée « Cerro rico » (montagne riche) aurait pu paver une autoroute deux voies de Potosi à Madrid! Seulement voilà tout a une fin et la ville a aujourd'hui beaucoup perdu de sa splendeur avec l'épuisement des mines.
La colline est aujourd'hui un vrai gruyère dont on extrait plus qu'un peu de zinc et que les touristes comme nous visitent.
Les conditions des mineurs elles sont restées les mêmes qu'à l'époque coloniale, un peu glauque de les voir travailler mais l'usage veut que les touristes leur arrondissent leur fin de mois avec des petits cadeaux (cigarette, sodas, feuille de coca...et dynamites!).
Nous avons ensuite enchainé avec 7 heures de bus chaotiques qui nous ont menés de Potosi à Uyuni. Objectif: le Salar d'Uyuni et le Sud Lipez pour rejoindre le Chili.
C'est une très jolie ville coloniale au climat beaucoup plus clément. C'est pour cette raison que nous avons décidé de nous y reposer 2 jours. Nous n'y avons donc pas fait grand chose hormis un inattendu concert de piano classique et des balades tranquilles en passant comme nous en avons pris l'habitude par le « mercado » pour y gouter un des plats typiques et y faire nos courses de fruits et légumes. Enfin surtout de pommes de terre...ils en ont plus de 300 variétés!
Nous avons ensuite poursuivi notre route vers la plus haute ville de plus de 100 000 habitants au monde!
Potosi, la riche déchue (4080 mètres).
Cette ville fut la seule d'Amérique Latine a être proclamée ville impériale du temps de Charles Quint. Et pour cause, elle a fait la fortune de l'Espagne pendant 3 siècles grâce à ses mines d'argent quasi inépuisables. Imaginez vous que tout le précieux métal extrait de la fameuse colline baptisée « Cerro rico » (montagne riche) aurait pu paver une autoroute deux voies de Potosi à Madrid! Seulement voilà tout a une fin et la ville a aujourd'hui beaucoup perdu de sa splendeur avec l'épuisement des mines.
La colline est aujourd'hui un vrai gruyère dont on extrait plus qu'un peu de zinc et que les touristes comme nous visitent.
Les conditions des mineurs elles sont restées les mêmes qu'à l'époque coloniale, un peu glauque de les voir travailler mais l'usage veut que les touristes leur arrondissent leur fin de mois avec des petits cadeaux (cigarette, sodas, feuille de coca...et dynamites!).
Nous avons ensuite enchainé avec 7 heures de bus chaotiques qui nous ont menés de Potosi à Uyuni. Objectif: le Salar d'Uyuni et le Sud Lipez pour rejoindre le Chili.
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